La Beauté et l'Efficacité des Signatures Électroniques - Un Monde de Possibilités

Choisir un type de signature électronique : quatre questions majeures à se poser

Déterminons à présent le niveau de garantie d’une signature électronique. Posez-vous simplement ces quatre questions clés.

  1. Authenticité
    La signature doit-elle être exclusivement liée au signataire ?
  2. Identité
    Le signataire doit-il absolument être identifié ?
  3. Intégrité
    Faut-il détecter toute modification apportée au document après sa signature ?
  4. Authentification
    Faut-il s’assurer à 100 % que la signature est sous le contrôle exclusif du signataire?

Si la réponse aux quatre questions est « absolument », la solution doit apporter le degré d’assurance le plus élevé : la SEQ.

Si la réponse est « c’est préférable » plutôt qu’absolument, la SEA peut être la meilleure solution.

Si les enjeux ne sont pas aussi cruciaux ou si d’autres circonstances d’identification F2F entrent en ligne de compte, ou encore si vous n’avez besoin que d’une confirmation de lecture d’un compte-rendu de réunion par exemple, la solution la plus simple suffira, à savoir la SES.

Trois types de signatures électroniques — Comment choisir la meilleure solution pour vos transactions ?

À la différence de la signature papier, les transactions numériques peuvent être signées de diverses manières. Chaque type de signature a une force probante et une légalité différentes et chacun propose une expérience d’utilisation distincte. Dans cet article de blog, nous vous expliquons les différents types de signatures électroniques disponibles sur le marché et vous aidons à choisir la mieux adaptée à votre entreprise. Vous trouverez ainsi l’équilibre idéal entre sécurité et expérience d’utilisation.

Quelques exemples de signature électronique

Après avoir parcouru ce qui précède, vous avez peut-être répondu que vous préférez avoir une certitude totale. C’est logique. Cependant, les quelques exemples ci-dessous éclaireront le choix optimal selon le degré de sécurité.

Nous avons déjà mentionné l’exemple du compte-rendu de réunion. Dans ce cas d’espèce, la SES suffira.

Cependant, pour un prêt ou un contrat de 100 000 USD, il convient de s’assurer que le signataire est légalement mandaté et est bien qui il prétend être. Dans les transactions F2F ou dans un contexte de client authentifié, une SES pourrait toujours convenir. Toutefois, la SEA et la SEQ sont préférables lorsque ces transactions ont lieu en ligne, par exemple. Tout dépend des circonstances dans lesquelles la procédure a lieu.

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